COIN DE RUE
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Comme une Edith qui piaffe
Une création pleine de joie, d’amour et de poésie.
Un spectacle qui fait du bien au cœur, et c’est bon !
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Accordéon chromatique : Jehan Julien Filatriau ou Cesc
Mise en scène : Etienne Van der Belen
Création éclairage : Josse Derbaix
Mise en voix : Marie Martine De Gueldre
Chorégraphie : Marie Colla
Photo décor et vidéo : Marco Lavand’homme
Dans la rue, chaque soir ,Suzon chante. Elle chante parce qu’une chanson c’est peu de chose, mais quand ça se pose au creux d’une oreille, ça reste là. Allez savoir pourquoi ! Valse, Java, boléro, Tango, chansons connues ou petites merveilles à découvrir, c’est toute la poésie de ce répertoire qui nous est offerte. Et l’on entend en écho, une foule de voix… Ces voix qui chantaient comme une Edith qui piaffe à l’angle de la rue : Mariano, Mouloudji, Guétary, Fréhel, Barbara, Gréco, et tant d’autres.
Coin de Rue, c’est aussi l’histoire de Suzon et de Marcel, de leur amour à la fois simple et extraordinaire, chanté, raconté avec générosité par la voix chaleureuse de Nathalie Dutilleul, qui est tour à tour narratrice, Suzon, Marcel, Mimi la blonde. Avec une complicité touchante, Jehan Julien et son accordéon accompagne avec beaucoup de sensibilté et de subtilité non seulement les chansons mais tout le récit et nous offre aussi quelques beaux instrumentaux.
Bref, Le bonheur est au coin de la Rue !
Mise en scène : simplicité et authenticité
L’idée du spectacle est née d’une envie de chanter comme on le faisait autrefois au coin des rues. Petit à petit est venue l’idée d’une histoire, d’un personnage qui évoque Piaf mais sans aucune volonté d’être fidèle à une réalité historique. il s’agit plutôt d’une évocation personnelle, très libre et symbolique, l’envie de rendre hommage à cette force de vie et d’amour qui l’habitait si pleinement. L’envie aussi de rendre hommage à la chanson française et à sa poésie, à ces airs authentiques qui discrètement, tels des souvenirs d’un monde qui part à la dérive se sont glissés au creux de notre oreille, se sont fait une place à l’ombre de nos coeurs. Et si le choix du répertoire déborde des années 30-40 où nous vous emmenons, c’est parce que nous nous sommes laissés guidé par notre sensibilité et nos envies plutôt que par un calendrier historique.Pour l’écriture nous avons été inspirés par Prévert, Vian, Brel, Nougaro et les images de Doisneau.
Tout au long du travail, la mise en scène sobre de Etienne Van der Belen, toujours en quête d’authenticité et de rigueur a pris soin de laisser place à l’émotion et au ressenti plutôt qu’à l’artifice. Le plaisir de jouer, de partager, d’être proche du public est là bien présent pour le plaisir de ceux qui sont dans la salle. Le décor est sobre et minimal: une photo imprimée sur toile en fond, une table de bistro, et deux chaises anciennes rouges, 2 verres de vin, une carafe.
Création éclairage
Avec une grande sensibilité et beaucoup d’ingéniosité Josse Derbaix a créé un éclairage chaleureux et subtil qui accompagne les différentes ambiances et émotions du spectacle, et le met merveilleusement en valeur.
Mise en voix
Sous les oreilles aiguisées de Marie Martine Degueldre, un travail sur la voix et l’interprétation tout en rigueur mais aussi avec la souplesse et la fantaisie que permet ce répertoire. La tonalité de chaque chanson a été soigneusement choisie. Nous n’avons jamais cherché à imiter ni Piaf, ni d’autre interprètes, mais avons travailler des interprétations personnelles. Et comme les chansons s’intègrent dans un récit, une histoire, celles ci se colorent différemment et prennent une autre dimension.
Chorégraphie
Quelques chansons du spectacle sont choregraphiées. Pour cela la toute jeune Marie colla qui danse depuis l’âge de 4 ans et entame maintenant le conservatoire d’Anvers nous a apporté tout son enthousiasme, de judicieux conseils et une aide précieuse.
Nous proposons 2 versions du spectacle : une pour salle équipée et une autre adaptée pour salles peu ou pas équipées. Si le lieu le permet, la représentation peut-être suivie d’une animation musicale avec un répertoire pour prolonger l’univers cabaret – guinguette du spectacle. L’occasion de boire un verre dans une ambiance très conviviale et pourquoi pas de danser.
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Coin de rue auprès des ainés et en maisons de repos
Une expérience 100% positive et très riche humainement
Depuis sa création, nous avons eu l’occasion de présenter Coin de Rue dans différentes salles, entre autres à des publics d’aînés et dans 6 maisons de repos dont 5 grâce au soutien du fonds Triodos. Ces séances étaient programmées en matinée ou l’après- midi.
Pour les autres représentations en soirée, le public était mélangé au niveau des générations mais il y avait à chaque fois des personnes du troisième âge.
Ces différentes expériences et rencontres avec le public nous confortent dans l’idée que Coin de Rue est un spectacle qui trouve réellement sa place dans les maisons de repos.
Plus qu’un spectacle ou un divertissement, Coin de Rue permet une plongée positive dans les souvenirs et un partage d’émotions. Une dimension qui nous paraît essentielle et importante pour l’accompagnement de personnes âgées en situation parfois difficile.
Ecoutez les impressions de quelques ainés que nous avons rencontrés à l’occasion des présentations de Coin de Rue en maisons de repos…
Pourquoi Coin de Rue en maisons de repos
Une expérience humainement très riche
L’avis des directrices des maisons de repos sur Coin de Rue
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Dossier technique :
La presse en parle :
L’Avenir Net : L’accordéon en fête au « Coin de Rue »
La Voix du Nord : Une première « musette » pour la SMOB, de quoi ravir les aînés du village
L’Avenir de l’Artois : Des troubadours modernes à la rencontre des habitants